L'Astrée



Tout au fond de mon cœur rempli de métaux lourds
Agonisent tes restes irradiés, mon amour
Je pense à toi la nuit, le jour et jusqu’au soir
Je demeure englué dans cette marée noire

Je t’ai aimé comme on peut aimer un soleil
Courant vers tes rayons et déjà consumé
Eperdu j’ai voulu fusionner fusionner
Partis dans les trous noirs les monts et les merveilles

Dans un autre espace-temps fait d’une autre matière
Tu me reviens toujours, et toujours je t’attends
Dans un plan séquencé de notre multivers
J’espère comme on espère le retour des vivants



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